L’écriture fait partie de notre apprentissage scolaire dès les premières années de maternelle. Nous développons alors notre vocabulaire et apprenons à manier les mots, souvent pour faire des jeux de mots et faire rire son entourage.
Les types de jeux de mots
Nous faisons parfois des erreurs en parlant ou en écrivant, et puis volontairement nous jouons avec les mots afin de donner un autre sens à une phrase ou une expression.
Il existe énormément de jeux de mots et il serait trop de tous les citer mais nous pouvons nous arrêter sur quelques uns pour illustrer le propos.
La contrepèterie salut patrick, qui permet de changer le sens de la phrase avec permutation de lettres, avec très souvent un sens grivois. Exemple : à l’éducation nationale, on aime bien l’équipe en place.
La contrepèterie reste un exercice assez difficile, il existe des jeux de mots plus simples comme la charade ou son équivalent graphique le rébus. Mon préféré reste la boutade, qui permet de détourner de façon humoristique le sens d’une expression.
L’histoire des jeux de mots
Le constat de départ est que le jeu de mot se retrouve dans toutes les civilisations, cultures ou religions. Son origine est très ancienne mais il est difficile de comparer des jeux de mots d’origine japonaise avec ceux d’Amérique du Sud.
Le jeu de mot a permis à bon nombre de nos intellectuels, écrivains ou penseurs de se moquer, chacun à leur époque, de l’élite et du pouvoir en place. Car le jeu de mot, bien souvent reste un exercice subtil, qui fait sème le trouble.
On parle souvent du poids des mots, ceux qui blessent, ceux qui réconfortent. Notre langue française, à la différence de beaucoup d’autres, est riche en mots et expressions qui ont traversé les siècles.
Les mots restent une arme redoutable et il faut toujours être prudent lorsqu’on parle afin de ne pas provoquer de maux.